Infolettre 63 – octobre 2024

Gabby Kachan © Luc Senécal

OFF-CINARS

Le Carré des Lombes en création

12 novembre 12h
Studio Jeanne Renaud – Circuit-Est
Ouvert aux diffuseurs et participant·e·s de la Biennale Cinars
Service de navette offert par Art Circulation

 

Danièle Desnoyers partage en studio des extraits de son projet en cours de création, qui sera présenté à Montréal à l’automne 2025. Réunissant huit interprètes dans un puissant vortex scénique, cette nouvelle création porte le sceau d’un élan vital, d’une danse à la fois primaire et avidement complexe, où s’entrelacent des fragments d’œuvres de Wagner à une nouvelle création sonore de Ben Shemie.

En deuxième partie, elle ouvre une fenêtre sur le projet de création in situ Les Scénographies-Paysages qui se déploie depuis quelques saisons dans des environnements hors du commun (Jardin de Métis, île d’Orléans et trois lieux emblématiques de la Sardaigne) et qui se poursuit à une échelle nationale et internationale.


OFF-CINARS

L’art est dans ses feuilles

Pour les Journées de la culture 2024, ATSA présentait à St-Adolphe d’Howard une installation photographique éphémère de Luc Senécal, élaborée à partir de la documentation de la résidence de création des Scénographies-Paysages à La Montagnarde, en juin dernier. Alors que le public évoluait dans une succession d’installations en forêt, Myriam Arseneault Campbell apparaissait et retraçait les bribes d’un parcours issu de ce même processus de création.

Montréal-Marrakech 

dans les médias

« Une œuvre de danse fine et recherchée qui nous transporte dans la beauté et la transformation humaine de la rencontre. »

 Léa Villalba, Le Devoir

« Montréal-Marrakech semble demander : comment se rejoindre au-delà des apparences et de l’Histoire ? Comment établir les paramètres d’un partage ? Par extension, comment créer le lieu – forcément hybride – où nous nous réaliserons ? […] Il est bien regrettable que cet inspirant clair-obscur ne soit présenté que trois soirs.»
– Philippe Mangerel, Revue Jeu

« Une rencontre réussie avec le public qui sort de là rasséréné, léger, rassuré, un moment au moins, le temps de la danse, dans la capacité de l’humain à dépasser ses propres frontières. Par les temps qui courent, ça fait du bien, vraiment… »

– Aline Apostolska, La Métropole